Ses recherches sur le céladon débutent par des formes concaves de coupes, bols. Mais JFF cherche l’impossible, les oppositions et les contrastes : la profondeur du céladon et sa transparence, la lumière à travers l’émail, l’opposition entre le lisse et le rugueux, la légèreté de la terreLa terre provient de la décomposition des roches sous l’action de l’eau de pluie, des glaciers, ou même du vent. Elle varie donc en fonction de la composition chimique des roches qui l’entourent, et l’on trouve des terres qui varient en qualité, couleur, plasticité, finesse ; certaines contiendront des inclusions organiques. On distingue les argiles, les grès et les porcelaines selon leur composition. More, le naturel et la ligne droite, les pleins et les déliés, le fini et le non fini, le curviligne et l’angle droit…
Or donc, pour trouver l’impossible, JFF crée un outil à sa main : une lame.
Sorte de fil à couper le beurre, c’est un ruban de métal souple d’un centimètre de large sur soixante de long environ, JFF peut ainsi séparer un bloc de terreLa terre provient de la décomposition des roches sous l’action de l’eau de pluie, des glaciers, ou même du vent. Elle varie donc en fonction de la composition chimique des roches qui l’entourent, et l’on trouve des terres qui varient en qualité, couleur, plasticité, finesse ; certaines contiendront des inclusions organiques. On distingue les argiles, les grès et les porcelaines selon leur composition. More selon le mouvement qu’il fait avec sa lame. Et, avec ses évidoirs, il réalise des angles acérés ou la lumière s’accrochera.