Bertrand de Lavergne collectionne depuis très longtemps, car il désirait une porcelaineProduit céramique à pâte fine, compacte, généralement blanche, translucide en faible épaisseur, vitrifié dans sa masse, et revêtu, le plus souvent d’une couverte brillante et transparente de caractère Feldspathique ou plombeux. Le composant essentiel de la porcelaine est le Kaolin, argile blanche, cuite à haute température. More Ming… Ceci vers les années 70. Ayant un deuxième métier, il se forme sur le tas à Drouot, dans les bibliothèques, chez les antiquaires et se fait l’œil. C’est vers 1985 qu’il s’installe en tant que marchand spécialisé en porcelaineProduit céramique à pâte fine, compacte, généralement blanche, translucide en faible épaisseur, vitrifié dans sa masse, et revêtu, le plus souvent d’une couverte brillante et transparente de caractère Feldspathique ou plombeux. Le composant essentiel de la porcelaine est le Kaolin, argile blanche, cuite à haute température. More chinoise d’exportation depuis celles des Ming. Ainsi que les tabatières qui s’adressent à des collectionneurs particuliers. Il devient expert dix ans après, au CNES (Chambre nationale des expert spécialisés) puis au CNE (Chambre nationale des Experts). Il fonde l’association des collectionneurs des Arts du feu. Nombreux au début. Personnellement, Bertrand de Lavergne collectionne les céramiques du XX° et les celles de la cérémonie du thé.
Les plus belles pièces sont les porcelaines réalisées pour les empereurs, portant leur cachet, et réalisées pour les palais impériaux. Ces pièces exceptionnelles sont rarissimes en dehors du marché chinois, mais cela peut arriver. Pour notre marchand, l’apogée de la porcelaineProduit céramique à pâte fine, compacte, généralement blanche, translucide en faible épaisseur, vitrifié dans sa masse, et revêtu, le plus souvent d’une couverte brillante et transparente de caractère Feldspathique ou plombeux. Le composant essentiel de la porcelaine est le Kaolin, argile blanche, cuite à haute température. More chinoise se situe pendant la période Kangxi, du nom du deuxième empereur de la dynastie mandchoue, qui régna de 1662 à 1722.
En revanche, les Porcelaines de la Compagnie des Indes sont nombreuses : elles étaient réalisées à Jind de Zhen comme celles pour l’empereur, mais ne suivaient pas le même circuit et étaient de moins belle qualité. Souvent, pour pallier ces défauts, elles étaient montées en bronze lorsqu’elles arrivaient en Europe. Les japonais ont découvert la porcelaineProduit céramique à pâte fine, compacte, généralement blanche, translucide en faible épaisseur, vitrifié dans sa masse, et revêtu, le plus souvent d’une couverte brillante et transparente de caractère Feldspathique ou plombeux. Le composant essentiel de la porcelaine est le Kaolin, argile blanche, cuite à haute température. More vers 1600. Et, rappelons-le, les allemands au XVIII° à Meissen…