Les premières traces
Les premières traces de contenant en terreLa terre provient de la décomposition des roches sous l’action de l’eau de pluie, des glaciers, ou même du vent. Elle varie donc en fonction de la composition chimique des roches qui l’entourent, et l’on trouve des terres qui varient en qualité, couleur, plasticité, finesse ; certaines contiendront des inclusions organiques. On distingue les argiles, les grès et les porcelaines selon leur composition. séchée apparaissent de façon générale au début de toutes les civilisations, trouvées souvent près des fleuves laissant un limon facile à travailler. Puis cet objet posé près du feu solidifie et l’intelligence humaine trouve la solution pour élaborer la première fabrication de l’humanité : l’aventure de la céramique commence. Nous sommes au Paléolithique* qui couvre les débuts de la préhistoire avec l’apparition de l’homme il y a 300 000 ans environ.
Nous pouvons séparer rapidement les pièces utilitaires des pièces cultuelles ou artistiques. Les premiers contenants sont modelés puis montés au colombinBoudin de terre de diamètre plus ou moins fin, que l’on pose l’un au-dessus de l’autre, pour façonner des céramiques sans utiliser le tour : striés et barbotinés, on place les boudins les uns sur les autres, puis on marie les étages par pression alternative vers le haut puis vers le bas. Cette technique permet de façonner tout type de forme.*, le tourInstrument du tourneur : dispositif, actionné au pied, ou électrique, comportant un plateau rotatif horizontal sur lequel on pose la boule de terre à tourner. arrivera plus tard. Les premiers décors se font par pression des doigts ou d’un corps dur sur l’argile ; ou bien par incision ou par grattage. Ils permettent de conserver les aliments ou les liquides, mais sont encore poreux.
Les premiers contenants en terreLa terre provient de la décomposition des roches sous l’action de l’eau de pluie, des glaciers, ou même du vent. Elle varie donc en fonction de la composition chimique des roches qui l’entourent, et l’on trouve des terres qui varient en qualité, couleur, plasticité, finesse ; certaines contiendront des inclusions organiques. On distingue les argiles, les grès et les porcelaines selon leur composition. séchée n’ont pas survécu à l’épreuve du temps et l’on suppose que ceux en terreLa terre provient de la décomposition des roches sous l’action de l’eau de pluie, des glaciers, ou même du vent. Elle varie donc en fonction de la composition chimique des roches qui l’entourent, et l’on trouve des terres qui varient en qualité, couleur, plasticité, finesse ; certaines contiendront des inclusions organiques. On distingue les argiles, les grès et les porcelaines selon leur composition. cuite également, faute d’une cuissonOpération consistant à soumettre des céramiques façonnées et séchées à l’action du feu, dans un four, pour les solidifier par durcissement de la pâte. suffisante. Les premiers fours sont des feux ouverts, à même le sol ou dans des fosses. Le combustible est trouvé sur place, bois, brindilles, bouses séchées, etc. Les premières cuissons sont effectuées à une température très basse, les tessons retrouvés sont denses et lourds. Puis les températures augmentent avec l’ajout de combustible en cours de cuissonOpération consistant à soumettre des céramiques façonnées et séchées à l’action du feu, dans un four, pour les solidifier par durcissement de la pâte. et grâce à la couverture du foyer.
Le site de Dolnii Vestonice, 30 000 ans av JC
C’est au Paléolithique supérieur (45 000 à 10 000 ans av JC) que sont créées les premières terres cuites. Vers 30 000 ans av JC apparaissent les premières sculptures d’animaux et de femmes, les Vénus gravettiennes. Le site de Dolni Vestonice, en Moldavie est le premier site ayant mis au jour des sculptures en terreLa terre provient de la décomposition des roches sous l’action de l’eau de pluie, des glaciers, ou même du vent. Elle varie donc en fonction de la composition chimique des roches qui l’entourent, et l’on trouve des terres qui varient en qualité, couleur, plasticité, finesse ; certaines contiendront des inclusions organiques. On distingue les argiles, les grès et les porcelaines selon leur composition. cuite. Elles sont cultuelles, représentent beaucoup d’animaux, mais également de nombreuses Vénus callipyges qui sont, en quelque sorte, des déesses de la fécondité, promesse d’une descendance difficile à assurer en ces temps incertains. La particularité de ce site est que le fourDifférents types de four sont utilisés depuis l’antiquité, et nous ne pouvons tous les répertorier ici. Les principaux sont : Cuisson primitive sur feu de bois en plein air. Les fours à tirage vertical ascendant pour la cuisson des briques principalement. Les fours à tirage vertical renversé (Europe, pour les poteries). Les fours à tirage horizontal, à cheminée couchée. (Chine, Japon, et à Saint Amand en Puisaye) Les fours à flammes directes comme à Vallauris. monte jusqu’à une température de 600 à 800°, ce qui est suffisant pour la conservation de ces sculptures car la terreLa terre provient de la décomposition des roches sous l’action de l’eau de pluie, des glaciers, ou même du vent. Elle varie donc en fonction de la composition chimique des roches qui l’entourent, et l’on trouve des terres qui varient en qualité, couleur, plasticité, finesse ; certaines contiendront des inclusions organiques. On distingue les argiles, les grès et les porcelaines selon leur composition. de cette région contient plus de phosphore qu’ailleurs, celui-ci permettant d’abaisser la température de fusion de l’argileTerre naturelle utilisée depuis la plus haute antiquité dans toutes les régions du monde (Moyen Orient, Egypte, Chine). Les premiers récipients fabriqués par l’homme sont en argile cuite à basse température dans des fours plus ou moins rudimentaires. et de réaliser sa transformation en céramique.
Près de Kiev, un autre site datant de 22 000 ans av JC a livré plus de cinq cents fragments de céramiques, dont des figurines. De même, dans les Pyrénées et au Sahara.